« Soleil, soleil, je te hais !... Lune, mon soleil blanc, toi seul sais me réchauffer. J'aime te contempler dans le ciel comme le clin d'œil d'un ange gardien désireux de me souhaiter une bonne nuit... » Pour Lamia, enfant de la lune, la moindre exposition à la lumière est proscrite. Dans ce roman, l'héroïne décrit son quotidien, expose ses sentiments face à la maladie, veut croire en un possible avenir.