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Femmes rapaillées

Livre numérique


En 1970, le poète Gaston Miron publie L’homme rapaillé, dont le poème liminaire – fondateur – marque l’arrivée, la naissance, l’aube : « je ne suis pas revenu pour revenir / je suis arrivé à ce qui commence ». Près de cinquante ans plus tard, quarante et une femmes poètes, Québécoises d’ici et d’ailleurs, de générations et de sensibilités différentes, prennent la parole, pour que le commencement continue d’advenir.

Engagées dans l’avenir, des femmes poètes deviennent ce chant ininterrompu. Elles révèlent par leurs voix autant de chemins d’arriver à ce qui commence, de naître à soi, à l’autre et au monde. Elles écrivent non pas à la suite de Miron, mais avec et contre lui.