Après bien des années, William Tauferson de New-York, vient de retrouver à Paris, la trace de son très vieil ami : Vladimir Caudral. Très enthousiaste, dans une longue lettre, il lui apprend son récent mariage avec une jeune femme délicieuse, sa venue prochaine en France pour affaires – se réjouissant par avance de leurs retrouvailles – et lui raconte une petite anecdote plutôt troublante…

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Oh, mon vieux complice, j’ai tant et tant à vous raconter, mais je me contenterai de vous narrer une seule anecdote qui, je le crois, vous plaira fort. Pour le reste de mes pérégrinations, j’attendrai d’avoir entendu les vôtres, lorsque nous nous retrouverons le mois prochain ; en effet, je dois me rendre à Paris, pour affaires, le 12 juillet.

Eh bien ! Je ne vous ferai pas plus longtemps languir. Fermez votre porte. Servez-vous un ballon de « Grande Champagne » que vous affectionnez tant. Prenez place dans un bon fauteuil. Êtes vous confortablement installé ?… Oui ?!… Très bien ! Voici donc, ma dernière aventure…