Des steppes de Russie aux bas-fonds parisiens, l'auteur nous invite à un "bal des revenants", esprits réincarnés au gré de souvenirs épars, entremêlés La traversée brutale de ce climat onirique rappelle, bien que dans un style tout différent, l'introduction de Michel Leiris à L'Âge d'homme, concevant la littérature comme une tauromachie...
Anonyme
14/04/2014
Superbe.